L’objet du projet est la création du Parc sur la zone 13.79 avec équipement. À la suite du projet, plus de 76 % de la zone biologiquement active supplémentaire sera créée, c’est-à-dire. 10,47 ha. Une fois créé, le parc sera un établissement public, et l’accès à celui-ci sera gratuit. La portée matérielle du projet comprend: commander la verdure existante par l’introduction de plantations d’arbres, de groupes d’arbustes, de vignes, de vivaces et d’herbes (nombre total de nouvelles plantations 103 534 pcs), des travaux de restauration mineurs et la mise en œuvre d’éléments d’infrastructure pour la mise à disposition de la verdure (le cofinancement des éléments supplémentaires énumérés ne dépasse pas 30 % du cofinancement total du projet au titre des coûts éligibles). En outre, la requérante financera d’autres infrastructures d’accompagnement, ce qui rendra la zone du nouveau parc plus attrayante. Le projet prévoit de mettre en œuvre une gestion forestière consistant en l’enlèvement d’arbres et d’arbustes (296 pcs) secs ou menaçants, en conjonction avec les soins et les coupes sanitaires de l’ancienne plante existante, y compris les plantes appartenant à des espèces exotiques envahissantes (épandage). Le projet comprend également la plantation d’arbres et d’arbustes ornementaux, de plantes vivaces, de plantes annuelles et d’oignons, de pelouses, de prairies florales et de surfaces constituées de plantes de couverture. Ces plantations compenseront plus que les arbres et arbustes morts ou endommagés. Les espèces indigènes seront utilisées pour fabriquer de nouvelles plantations, y compris des arbres et des arbustes qui émettent le plus d’oxygène (min. lilac Meyera ‘Palbin’, pin de montagne «Mops», pin de montagne «Gnom», «Fastigiata» frêne, jawor d’érable «Brilliantissimum», érable commun «Golden Globe», érable de champ «Elsrijk». La mise en œuvre du projet contribuera à arrêter ou à réduire le ruissellement des eaux de surface.