SmartEdge abordera le potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui réside dans le développement de petites villes dans les zones métropolitaines. Les villes périphériques font partie intégrante du tissu métropolitain existant et peuvent être des laboratoires de solutions intelligentes, écologiques et économiques et avoir la possibilité de jouer un rôle clé dans une économie sobre en carbone. L’objectif général du projet est d’améliorer les politiques d’économie sobre en carbone dans les villes côtières et leurs régions métropolitaines. Pour ce faire, huit partenaires des zones métropolitaines d’Akershus, de Barcelone, du Brandebourg, d’Ilfowa, de Cracovie, de Milan et de Stockholm et le ministère roumain de l’Environnement échangeront des expériences, transmettront de bonnes pratiques et faciliteront l’apprentissage entre partenaires sur des outils innovants d’urbanisme. Les transports et les bâtiments représentent la part du lion dans nos émissions et peuvent être réduits grâce à des politiques efficaces au niveau local et régional. En particulier, Smart Edge explorera le potentiel de production locale d’énergie renouvelable, de réduction des émissions des transports au moyen de sources d’énergie renouvelables et de systèmes énergétiques, et de réduction des émissions provenant des bâtiments au moyen de sources d’énergie renouvelables et de systèmes énergétiques. SmartEdge devrait conduire à l’amélioration des politiques d’économie sobre en carbone dans les villes côtières et leurs régions métropolitaines. En particulier, les régions métropolitaines prépareront et mettront en œuvre des plans d’action pour améliorer sept solutions stratégiques sélectionnées en partageant des solutions de planification stratégique intégrée pour les villes côtières et leurs régions, en fournissant des outils et des méthodes pour la gouvernance à plusieurs niveaux et la planification participative, avec l’inclusion active des villes côtières et d’autres parties prenantes dans les zones métropolitaines, et en élaborant des recommandations politiques. Le projet devrait avoir une incidence sur 205 millions d’euros dans les Fonds structurels et 122,8 millions d’euros pour d’autres fonds.