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Informations sur le projet
Date de début: 30 juin 2016
Date de fin: 28 septembre 2022
financement
Fonds: Fonds européen de développement régional (ERDF)
Budget total: 1 407 408,96 €
Contribution de l’UE: 1 196 297,62 € (85%)
programme
Période de programmation: 2014-2021
Autorité de gestion: Nemzeti Fejlesztési Minisztérium, Környezetvédelmi és Energiahatékonysági Programokért Felelős Helyettes Államtitkárság

Reconstruction des Chênes et villages mous dans la Direction du Parc National de Hortobágy

L’objectif du projet est de reconstruire et de recréer des habitats naturels ou semi-naturels composés d’espèces indigènes qui s’intègrent dans le paysage, ce qui favorise la survie à long terme des valeurs naturelles, la réhabilitation des zones dégradées et la création de conditions de vie et d’habitats favorables. L’objectif de ces travaux est de créer des systèmes naturels d’intervention humaine peu adaptés au paysage et tenant compte des besoins environnementaux de Natura 2000, des espèces végétales et animales protégées, afin de créer des conditions favorables à leurs populations. Cet objectif est étroitement aligné sur le Plan national de développement II. Le Programme de protection de l’environnement et le Plan national de conservation de la nature dans le cadre de celui-ci. Dans le même temps, le développement prévu pour la conservation de la nature est également conforme aux programmes Natura 2000, paneuropéens et hongrois du réseau écologique national de l’Union européenne. Interventions prévues: — Travaux d’extermination: destruction d’espèces d’aventures ligneuses envahissantes (comme l’acacia, le frêne, l’érable vert, l’ect.) dans des associations naturelles à haute valeur naturelle. Les travaux de destruction sont effectués par des moyens mécaniques (séchage, abattage, sonnerie). Boisement: dans les endroits où les espèces envahissantes forment une parcelle compacte cohérente, après élimination d’espèces indésirables, la structure naturelle des habitats et la composition des essences d’arbres sont restaurées par la plantation de forêts (en utilisant des essences d’arbres indigènes semblables à des paysages). Dans la réalisation du boisement, nous utilisons des méthodes de préparation complète et balayante du sol, nous utilisons des semis d’espèces indigènes lors de la plantation. — Stress permanent, conversion de la culture: dans le cas de certains tronçons forestiers, nous estimons nécessaire de modifier la branche de culture afin de protéger les habitats d’espèces végétales et animales protégées et hautement protégées situées sur le site ou liées à des habitats ouverts. En outre, à notre avis, il justifie le changement de culture, que les forêts générées par l’obligation de rénovation ne sont pas justifiées du point de vue de la conservation de la nature ou de la conservation du paysage, que le maintien ou la régénération de ressources forestières étrangères au paysage est contraire aux objectifs de conservation et Natura 2000 et que, dans de nombreux cas, il n’y a pas eu de forêts dans ces zones pendant la période de gestion traditionnelle du paysage ou au cours des périodes précédentes. — Clôtures: dans les endroits où cela n’est pas possible en raison du gibier surconservé en l’absence de précautions appropriées, des clôtures fauniques largement utilisées dans la pratique forestière autour du boisement et des pâturages boisés sont installées. Création de pâturages boisés: dans les zones où le paysage présente des habitats boisés plus ouverts, des pâturages boisés sont créés. La première étape de la création de pâturages boisés consiste à assurer l’élimination complète des bois envahissants. Dans les zones libérées de la pression envahissante, les espèces d’arbres indigènes déjà présentes fourniront le caractère de bosquet.

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