L’amélioration significative de l’utilisation des données dans l’administration publique est un objectif clé de la période de programmation 2014-2020. Nous voulons traiter les données comme une ressource rare. La couche de données fait donc l’objet d’une attention particulière dans l’architecture de l’administration en ligne. L’objectif principal est d’assurer l’intégration fonctionnelle des données entre les différents systèmes d’administration publique, y compris la reproduction régulière de données de transaction de haute qualité et consolidées dans des dépôts de données. Si une meilleure prise de décision est prise dans l’administration publique, cela aura un impact positif sur la performance en matière de gouvernance et sur l’état des différents secteurs gouvernementaux. Les administrations publiques doivent se doter d’une capacité suffisante pour travailler avec les données. Il est très important de comprendre en détail la logique (ontologies) des données gérées, de créer et de maintenir des modèles de données, de cataloguer les métadonnées et les paradonnées, de comprendre les liens entre les différents systèmes et de favoriser l’amélioration de la qualité des données dans les systèmes d’information de l’administration publique. Dans le cadre du concept national d’informatisation de l’administration publique 2016, la question a été abordée par le groupe de travail K9.4 Better Data, qui a proposé une solution système pour la gestion des données. Le concept présenté dans la priorité stratégique Gestion des données représente l’application de l’idée d’un «état basé sur les données» d’un état fonctionnant sur la base de l’utilisation des données et de la gestion précise de l’ensemble du cycle de vie des données. Depuis le 1er janvier 2018, le système de santé en ligne est en activité, actuellement appelé «santé en ligne». Toutefois, le service fréquemment utilisé impliquant un médecin, un patient et un employeur — qui réclame une prestation d’assurance maladie — est toujours d’actualité et complexe du point de vue de la procédure, non seulement pour le patient, mais aussi pour les fonctionnaires de l’assurance sociale. La raison de la réalisation de cette étude de faisabilité est l’électronisation de cette fonctionnalité et donc aj:ušetrenia le temps pour un citoyen d’économiser du temps pour qu’un médecin gagne du temps pour permettre à l’employeur de réagir rapidement aux changements de statut du personnel et de surveiller l’incapacité temporaire de travail de ses employés (lieu de séjour et étendue des départs) afin d’accélérer la vente d’informations du médecin traitant aux services d’assurance sociale concernés, étant donné que la fourniture de modifications sur support papier par la poste sera exclue. Il touche à toutes les prestations de maladie délivrées par le médecin et le patient La demande actuelle de réduction de l’administration de toutes les parties intéressées, le manque de temps à consacrer à un patient qui a besoin de fournir le ZS La suppression de la réécriture de données manuelles de tous les sujets concernés. L’objectif du système, qui décrit l’étude de la faisabilité d’une administration exigeante et longue d’un médecin dans le cadre de l’inscription des patients, comme le test de la PN, les actions procédurales longues liées à l’administration des formulaires (achat et livraison) afin de réduire au minimum le temps d’examen du médecin d’assurance sociale dans l’ambulance du médecin et le remplacement des procédures par des services électroniques d’économie de temps pour le patient avec transmission du PN et rapport au travail, L’élimination totale des visites du médecin au tour du citoyen et, en même temps, l’élimination de toutes les tâches administratives qui lui sont associées par le médecin, le patient, l’employeur et l’assurance sociale, la création d’un nouveau service pour améliorer la sécurité de l’employeur, par exemple, pour améliorer l’information de l’employeur afin d’améliorer la sécurité de l’employeur, par exemple, pour veiller à ce que toutes les tâches administratives liées au côté du médecin, du patient, de l’employeur et de la compagnie d’assurance sociale soient utilisées pour améliorer la sécurité du nouveau service de santé. Le projet se compose de deux parties: la modification des systèmes de santé, où des données électroniques sur la survenue d’une incapacité de travail ou le respect des conditions pour d’autres avantages du NP seront enregistrées, la modification des systèmes SP, les services d’alimentation et, en partie, les employeurs, où les données sont traitées. Le thème du financement est la première partie, à savoir la modification des systèmes de santé (CHP, eHealth), et la mise en œuvre du plan d’action débutera dans les 8 mois suivant le début de la mise en œuvre du volet NCZI (après la préparation des premières interfaces). Le projet prévoit également une opération pilote impliquant des représentants de tous les acteurs.