Le processus de prélèvement d’humidité du sol par le système racinaire pour permettre la transspiration des plantes pendant la photosynthèse n’est pas correctement décrit par les modèles terrestres, ce qui nuit à leur capacité à prédire l’effet des changements hydroclimatiques sur la végétation et la circulation de l’eau dans le paysage. En intégrant la nouvelle formulation de l’hydrodynamique du système racinaire de la végétation dans le modèle terrestre, ce projet transforme l’approche de cette question à l’échelle du paysage et permettra d’affiner la prédiction des liens de rétroaction entre les changements hydroclimatiques et la dynamique de croissance.